Ce chapitre a pour objet de situer la question de la territorialité guarani dans le contexte du développement des agro-industries au Brésil
Les points essentiels à citer sont les suivants:1. L'Économie et l'environnement du Brésil sont dominées par l'agro industrie
L’économie du Brésil est massivement dominée par l’agriculture, ce qui a un impact direct sur ses forêts et sa biodiversité, ainsi que sur ses émissions de gaz à effet de serre. Des pans entiers de forêts sont abattus pour laisser la place à l’élevage intensif et aux cultures du soja et de la canne à sucre.
2. La croissance de la production et des exportations est faramineuse
En 2010, le Brésil prévoyait que le sucre et l’éthanol seraient, dans les dix années à venir, les marchés les plus dynamiques de l’agrobusiness brésilien, fortement soutenus à la fois par la demande domestique
et par le marché à l’exportation
Cette situation a deux conséquences expliquées par quatre cartes
1. L’expansion de la production du soja et de l’élevage extensif dans le Centre - ouest et le Nord du Brésil se traduit par la déforestation de l’Amazonie et le brûlage du couvert végétal en grande partie dans les macro-écosyst
èmes du Cerrado et du Pantanal
Aggrandir les 2 cartes des biomes et des 2 agricultures: productiviste et vivrière
2. Le développement a été réalisé par la mise en place de latifundia sur d’énormes surfaces laissant une grande partie de la population (dont les guarani) sans accès à la terre.
Aggrandir les 2 cartes: l'une sur la taille des latifundia et l'autre sur le nombre de familles "en occupation" de terres
En conclusion : Remise par Sonia Gujajara coordinatrice de l'APIB ( Articulation des peuples indigène du Brésil)
d'une tronconneuse dorée a Katia Abreu, sénatrice et Ministre de l'agriculture du gouvernement Dilma Roussel
Photo Greenpeace